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7 activités pour étudier la météo au cycle 3

La météorologie, science complexe mais omniprésente dans notre quotidien, offre un terrain d'exploration idéal pour les élèves du cycle 3. Elle permet d'aborder de manière concrète et accessible des concepts scientifiques qui rythment leur vie de tous les jours tout en développant des compétences d'observation et d'analyse. À travers une série d'activités pratiques autour de la mesure des phénomènes météorologiques, les élèves peuvent découvrir les relations entre température, pression atmosphérique, humidité et qualité de l'air. Ces activités s'inscrivent dans une démarche d'investigation scientifique qui encourage les élèves à formuler des hypothèses, expérimenter et tirer des conclusions à partir de leurs observations.



Pourquoi étudier la météo au cycle 3


Étudier la météo au cycle 3 est particulièrement intéressant car cela permet de relier des phénomènes simples et quotidiens à des notions scientifiques importantes. Observer les variations de température, de vent ou d’humidité dans leur environnement proche donne aux élèves un point de départ concret pour comprendre des concepts comme les microclimats ou les cycles climatiques. Ces explorations ouvrent aussi des discussions sur des enjeux plus larges, comme l’impact des activités humaines sur l’atmosphère et les conséquences du réchauffement climatique.


La démarche d’investigation joue ici un rôle clé : elle encourage les élèves à poser des questions, à formuler des hypothèses, à expérimenter et à analyser leurs résultats. Ce processus leur permet non seulement d’acquérir des compétences scientifiques, mais aussi de faire le lien entre leurs observations locales et des problématiques globales. Par exemple, ils peuvent mesurer l’influence de l’humidité ou du CO2 sur la température et comprendre, de façon concrète, des phénomènes comme l’effet de serre ou les îlots de chaleur urbains.


Enfin, utiliser des instruments scientifiques, comme des thermomètres, des baromètres ou des capteurs connectés, ou en fabriquer soi-même, ajoute une dimension pratique et motivante. En construisant des outils simples, comme un pluviomètre ou un abri météo, les élèves développent leur créativité et découvrent le fonctionnement des instruments utilisés dans les sciences du climat. Cette approche les rend acteurs de leur apprentissage et leur donne une meilleure compréhension des interactions entre la météo locale et les enjeux environnementaux mondiaux.



Quels instruments utiliser ?


Pour initier les élèves de primaire à l'étude de la météo, des instruments simples et accessibles du commerce sont tout indiqués : un thermomètre numérique pour mesurer la température, un pluviomètre pour quantifier les précipitations, un baromètre pour observer les variations de pression atmosphérique, ou encore une girouette et un anémomètre manuel pour analyser le vent. Ces outils permettent une approche concrète et ludique, où les élèves manipulent directement les instruments, rendant les phénomènes météorologiques plus faciles à comprendre.


Certains de ces instruments peuvent également être construits en classe, comme un pluviomètre fabriqué à partir d'une bouteille ou un baromètre artisanal. Ces activités permettent aux élèves de comprendre le fonctionnement de ces outils tout en développant leur créativité. Une fois terminés, ces instruments peuvent être comparés à ceux du commerce ou à des outils numériques pour évaluer leur fiabilité et leur précision. Cela constitue une excellente occasion de développer leur esprit critique tout en les initiant à l'expérimentation scientifique.


Pour documenter les observations et le travail en classe, on peut utiliser des cahiers papier ou se tourner vers des outils numériques, de plus en plus présents dans les écoles. Par exemple, un cahier d'expérience numérique comme FizziQ Junior ou Book Creator est particulièrement utile. Il permet aux élèves de prendre des photos, de dessiner des schémas et de consigner leurs observations de manière organisée. Ces outils sont aussi très motivants pour les élèves, qui aiment travailler avec des applications modernes tout en se familiarisant avec les outils numériques.


Enfin, pour aller plus loin, des instruments connectés comme FizziQ Connect offrent une manière pratique et précise de collecter des données. Ce dispositif permet de connecter une grande variété de capteurs (température, humidité, pression, qualité de l’air avec CO2 et COV) et d’enregistrer directement les données. En visualisant les résultats sous forme de graphiques, les élèves peuvent analyser les phénomènes météorologiques plus facilement et sur le long terme, enrichissant encore davantage leur compréhension de la météo.



Analyse des microclimats autour de l’école


L’objectif de cette activité est d’initier les élèves à l’étude des microclimats en leur permettant de mesurer et d’analyser les variations de température, d’humidité et de luminosité dans différents endroits de l’école. Un microclimat désigne des conditions météorologiques spécifiques à une petite zone, influencées par des facteurs locaux comme la végétation, les matériaux au sol ou l’exposition au soleil. Par exemple, un espace ombragé sous un arbre sera généralement plus frais et plus humide qu’une cour pavée en plein soleil. En milieu urbain, ces différences sont amplifiées par les îlots de chaleur urbains : les surfaces en béton et asphalte absorbent et retiennent la chaleur, tandis que les parcs et espaces verts rafraîchissent l’air grâce à la transpiration des plantes. Ces écarts, parfois de plusieurs degrés, montrent l’importance des espaces naturels pour limiter les effets de la chaleur en ville.


Les élèves commencent par explorer les notions de microclimats et d’îlots de chaleur urbains lors d’une introduction en classe. Ensuite, en petits groupes, ils choisissent plusieurs lieux à comparer dans l’école : une cour ensoleillée, un espace ombragé sous un arbre, une zone pavée ou un mur exposé. Ils mesurent la température, l’humidité relative et la luminosité à l’aide d’instruments simples (comme des thermomètres) ou d’outils numériques connectés, comme le capteur Environnement III avec FizziQ Connect. Les données sont consignées dans un cahier ou un journal scientifique numérique. En classe, les élèves analysent et comparent leurs relevés, identifient les facteurs responsables des écarts (type de sol, végétation, exposition) et discutent de l’impact de ces microclimats dans leur environnement quotidien. Cette activité les sensibilise aux interactions entre l’aménagement local et les phénomènes climatiques, tout en développant une démarche scientifique et collaborative.



Prévision météorologique


Le but de cette activité est d'aider les élèves à comprendre comment la pression atmosphérique influence les conditions météorologiques et à découvrir comment elle peut être utilisée pour prédire le climat. Historiquement, les baromètres ont joué un rôle essentiel dans la prévision météorologique bien avant l'apparition des modèles informatiques et des satellites. Ces instruments simples mais efficaces étaient utilisés par les navigateurs, les agriculteurs et les scientifiques pour anticiper les changements de temps, ce qui montre leur importance dans l'histoire des sciences.


On peut aborder la mesure de la pression atmosphérique en étudiant un baromètre ou capteur barométrique, ou en construisant un baromètre. Pour cela on utilisera un bocal sur lequel ils tendent la peau d’un ballon fixée avec un élastique. Les élèves collent une paille en son centre pour servir d’indicateur. Les variations de pression atmosphérique feront bouger la paille vers le haut ou le bas. Une fois le baromètre artisanal réalisé, ils comparent son fonctionnement avec celui d’un baromètre numérique ou du capteur Environnement III connecté à FizziQ Connect, afin de vérifier son étalonnage et sa précision.


Ensuite, les élèves utilisent le baromètre qu'ils ont créé et le baromètre numérique pour enregistrer, chaque jour pendant un mois, la pression atmosphérique. Ils notent également les conditions météorologiques observées (temps clair, pluvieux, nuageux, etc.) dans un tableau, sur papier ou dans un cahier scientifique numérique comme FizziQ Junior. À la fin du mois, ils analysent les données collectées pour identifier des tendances, comme une pression basse souvent associée à la pluie ou une pression élevée à un ciel clair.


Dans un troisième temps, en s’appuyant sur leurs observations, ils élaborent une règle simple pour prédire le temps en fonction de la pression. Cette règle est ensuite testée sur de nouveaux relevés pour vérifier sa fiabilité, permettant aux élèves de comprendre les bases de la prévision météorologique tout en développant leur esprit scientifique et critique.



Évaluation de la pollution extérieure en fonction des conditions météorologiques


La qualité de l’air est un enjeu majeur de santé publique et de préservation de l’environnement. Comprendre les mécanismes qui influencent la pollution extérieure est essentiel pour identifier les facteurs qui aggravent ou atténuent ce phénomène. Cette activité permet aux élèves de se familiariser avec les outils scientifiques et les méthodes d’analyse environnementale tout en liant leurs observations à des données météorologiques concrètes. L'objectif est d'aider les élèves à comprendre comment les conditions atmosphériques influencent la concentration des polluants et à développer leur sensibilité à la problématique de la pollution de l'air.


Pour mener à bien cette activité, les élèves devront avoir accès à un détecteur de particules fines PM2.5 et PM10) ou un analyseur de composés volatils (COV). Ces caopteurs sontbon marché, on peut par exemple choisir des capteurs du système FizziQ Connect. Dans cette activité, les élèves explorent comment les conditions atmosphériques influencent les niveaux de pollution extérieure. Chaque jour, à heure fixe, ils mesurent les niveaux de particules et de COV tout en enregistrant d’autres paramètres : température, pression atmosphérique, et humidité. Pour compléter leurs observations, ils notent également si le vent est perceptible (par exemple, à l’aide d’une girouette ou simplement en observant les mouvements des feuilles), et éventuellement la pression atmosphérique ou une description de l'environnement météo.


Après plusieurs semaines de relevés, les élèves analysent les données pour chercher des corrélations entre les niveaux de pollution et les conditions atmosphériques. Ils peuvent constater, par exemple, que les particules fines sont plus présentes les jours où la pression est élevée et le vent faible, ou que des niveaux élevés de COV coïncident avec des températures plus élevées. En classe, ils comparent leurs résultats et discutent des facteurs environnementaux favorisant l’accumulation de pollution. Cette activité sensibilise les élèves à l’impact des conditions météorologiques sur la qualité de l’air et les aide à comprendre les mécanismes qui aggravent ou dispersent la pollution atmosphérique.



Qu'est ce qui bloque les UV ?


Les rayons ultraviolets (UV) jouent un rôle crucial dans notre environnement et notre santé. Une exposition excessive aux UV peut provoquer des problèmes de santé tels que des coups de soleil, un vieillissement prématuré de la peau ou encore des cancers cutanés. Cette activité permet aux élèves d’étudier les variations du niveau d’UV en fonction des conditions météorologiques et de comprendre les implications en termes de santé publique. L’objectif est de sensibiliser les élèves à l’importance de se protéger des UV et d’observer les facteurs qui influencent leur intensité.


Dans cette activité, les élèves utilisent un capteur UV de FizziQ Connect ou le capteur UV d’une station météo pour mesurer les niveaux d’UV à différents moments de la journée. À chaque relevé, ils enregistrent également les données météorologiques telles que la température, l’humédité, la présence de nuages et la direction du soleil. Ils notent si les conditions sont claires, nuageuses ou partiellement couvertes. Les relevés sont réalisés sur plusieurs jours pour observer les variations des niveaux d’UV en fonction des conditions climatiques et de l’heure de la journée. Les élèves noteront l'enselmble de ces informations sur leur cahier de sciences.


Après avoir collecté suffisamment de données, les élèves analysent les résultats pour identifier les moments de la journée où les UV sont les plus intenses et les conditions météorologiques qui influencent leur intensité. Par exemple, ils peuvent observer que les niveaux d’UV sont plus élevés à midi sous un ciel dégagé et qu’ils diminuent fortement sous un ciel couvert. En classe, ils discutent des conséquences de l’exposition aux UV et des mesures à prendre pour se protéger, comme l’utilisation de crèmes solaires, le port de chapeaux ou l’évitement des heures d’ensoleillement maximal. Cette activité les sensibilise à l’impact des UV sur la santé et les responsabilise en tant qu’acteurs de leur propre protection.



Étude du cycle de l’eau


Le cycle de l'eau est un processus fondamental qui régule la disponibilité et la distribution de l'eau sur Terre. Différentes activités permettent de rendre tangibles les différentes étapes du cycle de l'eau en combinant observations de terrain et expérimentations en classe. Les élèves découvrent ainsi comment l'eau circule dans l'environnement à travers ses différents états (solide, liquide, gazeux) et comment les conditions environnementales influencent ces transformations.


Pour explorer le cycle de l'eau, les élèves peuver mèner deux expériences complémentaires. La première expérience modélise le processus d'évaporation et de pluie : dans un récipient transparent couvert, de l'eau chaude est placée au fond tandis que des glaçons sont disposés sur le couvercle. Les élèves observent l'évaporation, la condensation et les "précipitations" qui se forment. On peut compléter cette étude par une observation de l'hygrométrie dans le bocal avec un capteur d'humidité. La deuxième expérience a pour objectif de montrer l'absorbtion par le sol des pluies. On utilise un dispositif simple composé de bouteilles en plastique coupées, de différents types de sols (sable, gravier, terre, argile) et de filtres à café pour étudier l'infiltration de l'eau. Les élèves versent un volume fixe d'eau (100 mL) sur chaque type de sol et mesurent le temps d'écoulement ainsi que le volume récupéré. On pourra également tester l'humidiâtce é dans le sol gâce un détecteur d'humidité.


L'analyse des données recueillies permet aux élèves de comprendre comment les différentes étapes du cycle de l'eau sont interconnectées. Pour l'expérience d'infiltration, ils constatent que certains sols sont plus perméables que d'autres : le gravier et le sable laissent passer l'eau rapidement tandis que l'argile la retient, illustrant la formation des nappes phréatiques. L'expérience de modélisation montre comment la température influence les changements d'état : l'eau chaude s'évapore, la vapeur se condense au contact de la surface froide, et les gouttelettes retombent, reproduisant le cycle des précipitations. Les observations météorologiques permettent de faire le lien avec ces phénomènes à plus grande échelle : formation des nuages les jours humides, évaporation plus rapide les jours chauds, infiltration variable selon les sols. Cette approche expérimentale aide les élèves à visualiser concrètement le cycle de l'eau et à comprendre son rôle crucial dans l'environnement.



Étude des effets de l’altitude sur la température et pression atmosphérique


L'étude de la relation entre l'altitude, la température et la pression atmosphérique permet aux élèves de mieux comprendre des phénomènes météorologiques qui influencent notre climat et notre environnement quotidien. Cette activité expérimentale rend concrets des concepts parfois abstraits comme la pression atmosphérique et illustre comment l'atmosphère terrestre se comporte à différentes altitudes. En réalisant des mesures à différentes hauteurs, les élèves découvrent par eux-mêmes les lois physiques qui régissent l'atmosphère et développent leur compréhension des mécanismes qui influencent la météorologie, de la formation des nuages aux variations de température en montagne. Cette étude peut être menées au cours d'un voyage d'étude par exemple.


Pour mener cette étude, les élèves utilisent des outils de mesure simples mais précis : un baromètre électronique (ou une application smartphone calibrée) pour la pression atmosphérique, un thermomètre numérique pour la température, et un altimètre ou une carte topographique pour mesurer précisément l'altitude. Les mesures sont effectuées à intervalles réguliers en montant les étages d'un bâtiment (par exemple tous les deux étages) ou le long d'une colline (tous les 30 mètres de dénivelé). À chaque point de mesure, les élèves notent l'altitude exacte, la pression atmosphérique en hectopascals (hPa), et la température en degrés Celsius. Pour assurer la fiabilité des données, les mesures sont répétées à différents moments de la journée et les élèves prennent soin de réaliser leurs relevés à l'ombre et à l'abri du vent. Ils consignent également les conditions météorologiques générales pour contextualiser leurs observations.


L'analyse des données collectées révèle des corrélations remarquables : en moyenne, la pression atmosphérique diminue d'environ 1 hPa tous les 8 mètres d'élévation, tandis que la température baisse en moyenne de 0,6°C pour 100 mètres de dénivelé (gradient thermique adiabatique). Les élèves représentent ces relations sur des graphiques, avec l'altitude en ordonnée et la pression ou la température en abscisse. Ces visualisations permettent de constater que la relation entre altitude et pression est quasiment linéaire sur de courtes distances. Les variations par rapport à ces moyennes suscitent des discussions intéressantes sur les facteurs locaux qui peuvent influencer ces paramètres : effet d'îlot de chaleur urbain, présence de masses d'air différentes, ou conditions météorologiques particulières. Cette activité aide ainsi les élèves à comprendre pourquoi il fait plus froid en montagne, comment se forment les nuages à certaines altitudes, et pourquoi les prévisions météorologiques doivent tenir compte du relief.



Comparer, étalonner et créer son thermomètre


Le thermomètre est un instrument de mesure facile à comprendre et à construire pour comprendre et quantifier les phénomènes physiques qui nous entourent. Cette activité permet aux élèves de s'approprier cet outil en découvrant son fonctionnement à travers l'observation, l'expérimentation et la construction. En manipulant différents thermomètres et en fabriquant le leur, les élèves développent leur compréhension des concepts de température et de dilatation thermique. Cette approche pratique et progressive aide les élèves à faire le lien entre les phénomènes physiques observés et les mesures quantitatives, tout en développant leur capacité à réaliser des mesures précises et à comprendre l'importance de l'étalonnage.


Pour mener cette étude, les élèves commencent par observer et comparer différents thermomètres du quotidien. Ils identifient les éléments constitutifs (réservoir, tube fin, liquide coloré, graduations) et leur rôle. Ensuite, ils réalisent des expériences pour comprendre ce qui fait monter ou descendre le liquide dans le thermomètre, en testant différentes sources de chaleur (main, eau chaude, sèche-cheveux) sur différentes parties du thermomètre. Une fois le principe de dilatation compris, ils construisent leur propre thermomètre avec un flacon rempli d'eau colorée et une paille. Pour l'étalonnage, ils comparent leur thermomètre avec un thermomètre commercial en le plongeant dans des bains à différentes températures (par exemple entre 0°C et 35°C) et marquent trois zones : froid (0-12°C), tempéré (12-25°C) et chaud (25-35°C). Des points de référence peuvent être établis avec un mélange eau-glace (0°C) et de l'eau bouillante (100°C), cette dernière manipulation étant réservée à l'enseignant pour des raisons de sécurité. Cette activité est décrite en détail dans le site de La main à la pâte.


L'analyse des résultats permet aux élèves de comprendre plusieurs concepts clés : la dilatation thermique (le liquide occupe plus de volume quand on le chauffe), la nécessité d'un étalonnage pour obtenir des mesures fiables, et l'importance de conditions de mesure standardisées (position du thermomètre, temps d'attente pour la mesure, protection du rayonnement direct). Les élèves découvrent que seule la partie réservoir doit être en contact avec ce qu'on veut mesurer et que la température indiquée ne change pas instantanément. La comparaison entre leur thermomètre artisanal et un thermomètre commercial leur permet de comprendre l'importance de la précision et de la standardisation des instruments de mesure. Cette activité peut se conclure par l'installation d'un thermomètre dans la cour de l'école pour des relevés quotidiens de température, en veillant à le placer dans un endroit abrité du soleil et du vent.



Conclusion

Nous avons proposé dans ce post 7 activités adaptées au cycle 3 qui peuvent être réalisés avec FizziQ Junior et quelques instruments de mesure. Ces différentes activités sur la météorologie permettent aux élèves de développer une compréhension approfondie des phénomènes atmosphériques qui les entourent. En passant de l'observation simple à la construction d'instruments de mesure, puis à l'analyse de données, ils acquièrent progressivement les compétences nécessaires pour appréhender des concepts scientifiques plus complexes. Cette approche pratique et expérimentale de la météorologie ouvre également la voie à des discussions sur des enjeux plus larges comme le changement climatique ou la pollution atmosphérique. Par ailleurs, la tenue d'un cahier d'expériences et l'utilisation d'outils numériques développent des compétences transversales essentielles dans leur parcours scolaire. Ces activités constituent ainsi une base solide pour former des citoyens éclairés, capables de comprendre et d'agir sur leur environnement.






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